Kuala Lumpur, Malaisie 5 - 7 février 2024
Points forts : Faisant suite au plan d'action national élaboré en 2022 et à la demande de l'autorité nationale désignée en Malaisie, un projet a été élaboré concernant l'enquête sur l'utilisation des pesticides et la surveillance des incidents. Les activités proposées viseront à sensibiliser, à collecter des données de terrain sur l'utilisation des pesticides dans les conditions actuelles, à surveiller l'exposition et l'impact sur la santé. Le projet vise à renforcer les capacités nationales en matière de réduction des risques liés aux pesticides, en fournissant des données scientifiques pour les futures décisions de réglementations nationales et la mise en œuvre efficace de la Convention de Rotterdam, en particulier de l'article 5 et de l'article 6. Le projet est développé par l'autorité nationale désignée, Division pour le contrôle des pesticides et des engrais, Département de l'Agriculture de Malaisie, en collaboration avec le Secrétariat de la Convention de Rotterdam. Il est financé par les ressources du Programme ordinaire de la FAO.
Organisateurs : L'atelier est organisé conjointement par la Division du contrôle des pesticides et des engrais du ministère de l'Agriculture de Malaisie et le Secrétariat de la Convention de Rotterdam.
Langues de travail : anglais et malais
Objectifs de la réunion : Le projet national d'enquête sur l'utilisation des pesticides et de surveillance de leur incidence vise à renforcer les capacités de surveillance de l'utilisation des pesticides sur le terrain, en identifiant ceux qui causent de graves problèmes dans les conditions locales en Malaisie. L'atelier de lancement devrait examiner et se familiariser avec les outils de collecte, de validation et de présentation des données, ainsi que discuter et adopter le plan de travail.
Public cible : Les principales parties prenantes de la Convention de Rotterdam dans les secteurs de l'agriculture, de la santé et de l'environnement, y compris les ministères et agences concernés ainsi que le secteur privé et les ONG.