Bridgetown (Barbade), les 7 et 8 février 2018
Lieu de la réunion : Hôtel Hilton Barbados Resort, Needham’s point, Saint-Michael (Barbade)
Informations générales : En 2017, le Secrétariat de la Convention de Rotterdam a reçu de plusieurs États de la région des Caraïbes, à savoir la Barbade, la Grenade et Sainte-Lucie, des demandes d’assistance pour la mise en œuvre des mesures qu’ils prenaient en vue de devenir Parties à la Convention.
Suite aux demandes d’assistance technique, le Secrétariat s’est concerté avec chacun des États en ayant fait une afin de recueillir des informations spécifiques quant à leurs besoins. Sur la base des résultats de ces consultations, un atelier consultatif sous-régional conjoint a été organisé en collaboration avec le gouvernement de la Barbade, qui a généreusement offert d’accueillir l’atelier à Needham’s Point les 7 et 8 février 2018.
Organisateurs : L’atelier a été organisé par l’équipe FAO (Rome) du Secrétariat de la Convention de Rotterdam, avec le concours du bureau sous-régional de la FAO pour les États des Caraïbes à la Barbade et sur financement de la FAO.
Langue de travail : Anglais
Objectifs de l’atelier : Cet atelier de deux jours vise à soutenir les efforts déployés par la Barbade, Sainte-Lucie et la Grenade en vue de devenir Parties à la Convention de Rotterdam. L’atelier renforcera la sensibilisation à la Convention de Rotterdam et à son objectif, qui est de protéger la santé humaine et l’environnement, et mobilisera également l’attention par rapport à la gestion des produits chimiques tout au long de leur cycle de vie. Cela permettra ainsi de sensibiliser les décideurs à cette question et de soutenir plus avant les efforts nationaux déployés au sein de chacun des États participants en vue de devenir Partie à la Convention.
La Barbade, la Grenade et Sainte-Lucie ont exprimé leur espoir que le fait de devenir Partie permettra de renforcer la sécurité chimique, la mise en application efficace de la Convention ayant pour résultat l’établissement de cadres institutionnels et juridiques nationaux plus solides pour la gestion des produits chimiques. En outre, les États participants espèrent que la procédure de consentement préalable en connaissance de cause en vertu de la Convention les aidera à renforcer leurs capacités à détecter et à prévenir le trafic illicite de produits chimiques dangereux. Toute amélioration du cadre de gestion des produits chimiques résultant du fait que les États sont devenus Parties permettra également de consolider les efforts visant à lutter contre le commerce de produits chimiques de contrefaçon.
Groupe cible : La liste confirmée des participants comprend diverses parties prenantes nationales appartenant aux institutions et organismes suivants : ministère des Affaires étrangères, ministère de l’Agriculture, ministère de la Santé, ministère des Finances, ministère des Affaires juridiques, douane, ministère de l’Industrie, représentants de l’industrie et du commerce, ministère de la Protection de l’environnement, Comité d’enregistrement des pesticides et des produits chimiques toxiques, organismes concernés par la lutte contre les ravageurs et la protection des cultures, etc.