Kiev (Ukraine), le 31 mai 2017
Lieu de la réunion : ministère de l’Écologie et des Ressources naturelles, Arhus Centre, V.Lypkivskogo Str. 35, Kiev (Ukraine)
Points essentiels : en juin 2014, l’Assemblée des Nations Unies pour l’environnement (UNEA) a adopté le cadre d’un Programme spécial, financé à l’aide de contributions volontaires. Le Programme spécial apporte un soutien spécialisé au renforcement des institutions nationales aux fins de la mise en œuvre des conventions de Bâle, de Rotterdam et de Stockholm, de la Convention de Minamata Convention et de la SAICM. En 2016, l’Ukraine a fait une demande pour la proposition de projet « Renforcement de la mise en application de la Convention de Rotterdam en Ukraine et amélioration des capacités à contrer le trafic illicite de produits chimiques » et faisait partie des sept pays initialement retenus sur les 73 candidatures.
Organisateurs : la réunion a été organisée par le ministère de l’Écologie et des Ressources naturelles d’Ukraine et la Croix verte suisse. Le projet est financé par le Programme spécial de l’ONU et cofinancé à l’aide de contributions en nature du ministère ukrainien de l’Écologie et des Ressources naturelles, la Croix verte suisse et le Centre international ukrainien des ONG pour la conflictologie et la sécurité environnementales, entre autres.
Langues de travail : anglais, russe et ukrainien.
Objectifs de la réunion : la réunion avait pour objet de lancer le projet et d’informer toutes les parties prenantes des premières mesures à prendre pour réaliser l’objectif global du projet, qui est d’améliorer la sécurité chimique en Ukraine en renforçant les institutions et la législation nationale en vue d’une mise en œuvre efficace de la Convention de Rotterdam, et d’améliorer les capacités en matière de détection et de prévention du trafic illicite et des produits chimiques de contrefaçon.
Groupe cible : le groupe cible se composait de représentants des ministères de l’Environnement, de l’Agriculture, de la Santé, du Développement, des AND de la Convention de Rotterdam, de la société publique, de représentants du bureau de la FAO, ainsi que de représentants de l’U.E., d’organisations intergouvernementales, d’organisations non gouvernementales, du milieu universitaire, du secteur privé et des médias.